Défouloir

Vous n'avez pas encore le niveau!

Etude d'un smiley : (codé par un ":" puis par un "D"). Il fait 15 pixels de haut (youhouuuu!!!) sur tout autant de large (ouaiiiiiiiiiiiiiiiss!), il est de forme sphérique (ce que nous apprécions tous!), majoritairement jaune (remarquez que beaucoup de smileys le sont : influence nippone?), hébergé à ce site : https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_biggrin.png en format png.
Composé de deux traits noirs de 1pixel de large sur deux de haut (espacés de deux pixels du centre vers le haut, de trois vers respectivement la gauche et la droite, et tout autant vers le haut) représentant des yeux certes intellectuellement peu avantageux mais exprimant la bonne humeur combiné à un hémisphère blanc entouré de noir dans la moitié inférieure du smiley (qui épouse la forme arrondie à deux pixel entre le trait noir et la fin de l'image) et d'un trait noir dont les deux extrémités dépassent de 1 pixel des deux côtés de cette simili-bouche incitant le rire et la bonne humeur.
Notez cependant que sous cette couverture joyeuse se cache un complot monstrueux ; en effet, le simple code html de cette bouille souriante ne laisse pas présager de la trahison qu'il implique : <img title="Very Happy" src="https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_biggrin.png" alt="Very Happy" border="0">
Car ce smiley N'EST PAS COMPOSE DE TROIS COULEURS ! ! ! Ne vous laissez pas pendre : oh, bien sûr, le blanc se code par un #FFFFFF et le noir par un #000000. Mais le jaune est trompeur... Dans ce simple petit résidu de pixels se cachent PAS MOINS de 5 teintes de jaune! Imaginez...
Dans ce cas, que veut dire ce sourire si exagéré, si démentiel, qui lui prend presque la moitié de la tête? Un blanc éclatant... Est-ce un message caché de DENPROPR? Ou bien le smiley rit de la bonne blague qu'il nous a infligé?
Hummm....
Mais il se peut que ce soit encore plus terrible. Peut être il se réjouit à l'avance du tour qu'il va nous jouer. Garder une expression aussi figée, aussi peu mobile, c'est pas normal.

Moi je vous dit, il y a anguille sous roche. Et si vous regardez bien, il a ramené ses collègues!
_______________
|Principal concerné|
|
V

Merlin, je n'ai pas réussi à lire ton post en entier... très ennuyeux ! Étude d'un smiley, j'aime pas ça !

Des équations du premier et du second degré (où les coefficients sont des nombres donnés) sont déjà résolues avec une méthode générale par les Babyloniens vers 1700 av. J.C et peut être même plus tôt.
Pour les équations du 3ème degré, il faut attendre Scipio del Ferro (1465-1526) vers 1515 (les papiers de ce dernier sont cependant perdus), puis Tartaglia et Cardan ;
et pour celles du 4ème degré, Ludovico Ferrari (Bologne 1522-1565, en 1540) qui était un élève de Cardan.

* Une chronologique résumant l'étude

Equations du 2ème degré Les Babyloniens1 800-1 500 av.J.-C. Les tablettes de cette époque conservent une foule d'informations, en particulier elle nous révèle une algèbre déjà très développée et témoigne de la maîtrise des Babyloniens à résoudre des équations du second degré.
Diophante (4e siècle) Diophante (4e siècle) poursuit les recherches des Babyloniens . Il aura une approche algébrique du problème.
Vers 820-830, Al-Khwarizmi Vers 820-830, Al-Khwarizmi , membre de la communauté scientifique réunie autour du calife al Mamoun, décrit, dans son traité d'algèbre, des transformation algébriques permettant de résoudre des équations du 2e degré.
Les racines négatives sont ignorées jusqu'au 16e Suivant les idées développées par Stevin en 1585, Girard en 1629 donne des exemples d'équations avec racines négatives. "Le négatif en géométrie indique une régression, alors que le positif correspond à un avancement.". Il n'a d'ailleurs pas plus de scrupules avec les racines complexes.

* Exemple d'écriture de l'équation 2x² - 5x = 23 de Diophante à nos jours

Equations du 3 ème degré Ménechme
(375 à 325 av.J.-C., Grèce) Les grecs ont résolus ces équations géométriquement, par intersection de coniques (ellipses, paraboles et hyperboles). Le plus ancien des problèmes du 3e degré remonterait à Ménechme (375 à 325 av.J.-C.).
Archimède
(287-212 av.J.-C.)

Archimède (287-212 av.J.-C.) avait lui cherché à couper une sphère de rayon R par un plan de façon que le rapport des volumes des 2 parties ait une valeur donné k. Cela donne une équation de degré 3.
Omar Khayyâm(1048-1131)
Sharaf ad Din at Tusi (vers 1160) Astronome et mathématicien, Omar Khayyâm, dans son traité d'algèbre (1074) étudie les équations du 3e degré à coefficients strictement positifs. 100 ans plus tard Sharaf ad Din at Tusi classe les équations, non plus comme Omar Khayyâm suivant le signe des coefficients, mais suivant l'existence de racines strictement positives.
Scipio del Ferro (1465-1526)
Niccolo Tartaglia (1500-1557)
Jérôme Cardan (1501-1576)

Scipio del Ferro (1465-1526), professeur à Bologne, découvre la résolution algébrique des équations : (p,q>0) (il ne considère pas les coef. négatifs)
x3 + px = q (1)
x3 = px + q (2)
x3 + q = px (3)

En 1535, Niccolo Tartaglia réussi à résoudre une trentaine de problèmes de type (1), mais il garde secrète sa méthode.
Par la suite, Jérôme Cardan (1501-1576), lui arrache son secret (en 1939) et réussi à étendre la méthode aux équations de type (2) et (3).
(Pour plus de précisions, cf. Le conflit Tartaglia-Cardan).
Euler (1707-1783) Mais c'est Euler qui a éclairci la détermination des 3 racines dans un article en latin de 1732.

* La résolution : Comment résoudre une équation de degré 3 ?

Equations du 4 ème degré Jérôme Cardan (1501-1576)
Lodovico Ferrari (1522-1565). Cardan donne une méthode au chapitre 39 de l'Ars Magna. Il précise qu'elle a été trouvée par son élève Lodovico Ferrari.
Viète (1540-1603, France)

Dans son texte de 1615, François Viète expose clairement la méthode de Ferrari.
Descartes (1596-1650) Descartes expose aussi une autre méthode de résolution, par coefficients indéterminés.
x4+px²+qx+r=(x²+ax+b)(x²+cx+d)

Stoppe, je ne comprends rien à vos posts ! Je suis pas un matheux !

Celui qui recommence je lui donne pour rang : posteur merdique

Je te rassure, je ne comprends rien à mon post non plus!

Pour tous ceux qui rêvent de parler l'elfique :


Conjugaison et Verbes

I ~ Le Gérondif

On appel un nom déverbal un nom formé à partir d’une racine verbale.
. Manger = le manger (le boire et le manger)
Cette forme est extrêmement répandu dans le Sindarin, mais est basée sur le gérondif. C’est à dire qu’au lieu de dire « il souhaite saluer », le Sindarin utilisera le Gérondif en disant « Il souhaite la salutation »

Pour former le Gérondif

- Les verbes du 1er groupe
Les verbes se terminant par –a sont les plus courants, aussi on les classe dans un premier groupe.
Pour former leur gérondif, il suffit d’ajouter à la forme infinitive –d.
exemples :
. eitha (insulter) = eithad (insulte)
. suila (saluer) = suilad (salutation)
. oltha (rêver) = olthad (rêve)
. teitha (ecrire) = teithad (ecriture, mot)

- Les verbes du deuxième groupe
Il semble que les autres verbes, faisant partie du deuxième groupe, forme leur gérondif en –ed.
Cependant, il n’existe que deux exemples concrets dans les textes , et ceux ci sont apparus tardivement dans l’œuvre de Tolkien.
. cab (sauter) = cabed (saut bond)
. govad (rencontrer) = govaded (rencontre)

II ~ L’Infinitif et l’Impératif

- Les verbes du premier groupe
Pour ces verbes, l’Infinitif et l’Impératif ont la même forme.On les forme tout deux en remplaçant le –a final par –o.
. teitha donne teitho « ecrire », mais aussi "Ecris!"
REMARQUE : l’impératif ne s’accorde pas au nombre, ainsi teitho signifie aussi bien « ecris » que « ecrivez ».

- Les verbes du deuxième groupe
- Pour ce verbe, l’infinitif se forme en ajoutant –i au radical du verbe.
CEPENDANT, le « i » en Sindarin possède la particularité de provoquer un umlaut, c’est à dire une mutation des autres voyelles du mot en –e.
. Dag donnera degi (massacrer)
. Dar donnera deri (s’arrêter)
. Ped donnera pedi car la voyelle est déjà un –e
- L’Impératif des verbes du deuxième groupe se forment comme les verbes du premier groupe, c’est à dire en y ajoutant un –o
. Ped donne pedo
. Dar donne daro

III ~ LE PRESENT

Les terminaisons générales du présent

Voici les terminaisons générales du présent. Cependant, il est essentiel de consulter la suite du cours, ci dessous, pour en saisir toutes les nuances.
En gros, on peut attribuer les terminaisons suivantes:
-n pour "je"
-ch ou -g pour "tu, vous"
-"il,elle" est un cas particulier car il s'agit uniquement de la forme de base sans aucun changement
-m pour "nous"
-ch ou -g pour "nous, tu"
-r pour 'ils, elles"

On ajoutera ces terminaisons différemment selon le groupe auquel appartient le verbe:
- à la forme de base du verbe pour le 1er groupe (verbes en -a)
- à l'infinitif du verbe pour le 2e groupe

"je" : première personne du singulier
- On ajoute -n à la forme de base du verbe pour le 1er groupe:
. esta- "appeler, nommer" (infinitif "esto") donne estan "tu appelle"
ATTENTION: certains verbes du 1er groupe subissent une règle particulière, c'est à dire que la terminaison -n pour "je" s'applique sur l'infinitif et non sur la base du verbe:
. bronion (j’endure) de la base bronia- (endurer)
. dagron (je fais la guerre) de la base dagra- (faire la guerre)
- On ajoute –n à la forme infinitive du verbe pour le 2e groupe
. ped- "parler" (infinitif "pedi") donne pedin "tu parle"

"tu" : 2e personne du singulier
On ajoute -ch ou -g à la base du verbe pour le 1er groupe (verbes en -a):
. pour lacha- (v.1e groupe) "flamber" --> lachach ou lachag (tu flambe)
On ajoute -ch ou -g à l'infinitif du verbe pour les verbes du 2e groupe:
. pour dar-(v.2e groupe) «arrêter», l'infinitif est deri --> derich ou derig (tu arrête)

"il, elle" : 3e personne du singulier
- pour les verbes du 1er groupe (en -a):
La forme de la 3ème personne du singulier au présent est identique à la forme de base du verbe:
bronia- (endurer) donne bronia "(il,elle) endure"
ertha- (unir) donne ertha "(il,elle) unit"
linna- (chenter) donne linna "(il,elle) chante"
- pour les verbes du 2ème groupe, la règle est identique, sauf dans le cas de verbe monosyllabique, où la voyelle est allongée:
dar- (arrêter) donne dâr "(il, elle) arrête"
fir- (mourir) donne fîr "(il, elle) meurt"

"nous": 1e personne du pluriel
On ajoute -m à la base du verbe pour le 1er groupe (verbes en -a):
. pour lacha- (v.1e groupe) "flamber" --> lacham(nous flambons)
On ajoute -m à l'infinitif du verbe pour les verbes du 2e groupe:
. pour dar-(v.2e groupe) «arrêter», l'infinitif est deri --> derim (nous arrêtons)

"vous" : 2e personne du pluriel
On ajoute -ch ou -g à la base du verbe pour le 1er groupe (verbes en -a):
. pour lacha- (v.1e groupe) "flamber" --> lachach ou lachag (vous flambez)
On ajoute -ch ou -g à l'infinitif du verbe pour les verbes du 2e groupe:
. pour dar-(v.2e groupe) «arrêter», l'infinitif est deri --> derich ou derig (vous arrêtez)

"ils" : 3e personne du pluriel au présent
- pour les verbes du 1er groupe (en -a), on ajoute –r à la forme de base du verbe (et non à l'infinitif).
. broniar (ils, elles endurent) de bronia- (endurer)
- pour les verbes du 2e groupe, on ajoute -r à l'infinitif du verbe, en respectant la règle de l'umlaut (voir plus haut):
. dar- (infinitif=deri=arrêter) donne derir (ils,elles arrêtent)


IV ~ LE FUTUR

Verbes du 1er groupe (en -a)
- Pour former le futur, on ajoute à la base le suffixe tha :
. bronia- (endurer) donne broniatha (endurera)
- On ajoute alors, à partir du suffixe tha, les mêmes terminaisons qu'au présent. Par exemple:
. bronniatham (nous endurerons) de bronia- (endurer)
. linnathar (ils/elles chanteront) de linna- (chanter)
- ATTENTION: Comme au présent,certains verbes du 1er groupe subissent une règle particulière, c'est à dire que la terminaison -n pour "je" provoque la transformation du -a final en -o. Cela donne:
. broniathon (j’endurerai) de la base bronia- (endurer), au lieu de broniathan
. linnathon (je chanterai) de la base linna- (chanter), au lieu de linnathan

verbes du 2e groupe
- On ajoute à l'infinitif le suffixe tha, suivi de la terminaison:
. dar- -> infinitif = deri (arrêter) donne deritha (il, elle arrêtera)
. ped- -> infinitif = pedi (parler) donne peditham (nous parlerons)

V ~ LE PASSE

Verbes du 1er groupe (en -a)
Pour former le passé, il sufit d'ajouter:
-le suffixe -nt pour la 3eme personne du singulier:
. bronia- (endurer) donne broniant (endurait, endura)
-le suffixe nne- suivi de la terminaison habituel pour les autres personnes:
. bronianner (ils/elles enduraient, ils/elles endurèrent)
. broniannem (nous endurerons)

Verbes du 2eme groupe
- Les formes de la 3e personne du singulier
Dans le cas des verbes dont la base finit par -r ou par -n, on ajoute le suffixe -n :
. dar- (arrêter) donne darn (arrêtait, arrêta)
. cen- (voir) donne cenn (voyait, vit)
Pour les verbes dont la base verbale se termine en b, d, g, v, dh, le passé est alors exprimé par un infixe, c'est à dire une lettre qui s'insère avant le suffixe -n ci-dessus, à la place de la dernière lettre de la base. Ainsi:
b devient p ---> cab- (sauter, bondir) donnera camp (sautait, sauta) --> REMARQUE: le -n devient -m devant -p
b devient t ---> had- (lance) donnera hant (lançait, lança)
g devient c ---> dag- (abattre, tuer) donnera danc (abattait, tuait, abattit, tua)
dh devient d ---> redh- (semer)donnera rend (semait, sema)
(!) v: les verbes en -v ont des passés en -m, -mb --> lav- (lécher) donnera lam ou lamb (léchait, lécha)

- Les autres personnes
On ajoute à la fin de la 3e personne du passé défini ci-dessus la lettre -i suivie de la terminaison correspondant à la personne :
. cen- (voir) donne à la 3eme pers.sg. passé: cenn (voyait, vit) --> cennin (je voyais, je vis)
. gir- (frissonner) donne à la 3e pers.sg. passé: girn (frissonnait, frissonna) --> girnin (je frissonnais), girnim (nous frissonnions, nous frissonâmes), girnig, girnich (tu frisonnais, tu frissonnas/vous frissonniez, vous frissonnâtes), girnir (ils/elles frissonnaient, ils/elles frissonnèrent)

- Ne pas oublier que, quelque soit le groupe du verbe, les syllabes a et o deviennent toutes deux -e en présence du -i :
. dar- (arrêter) donne à la 3e pers.sg. du passé darn (il,elle arrêtait/arrêta), donc deviendra dernin (j’arrêtais)

VI ~ LE PARTICIPE PRESENT

Les participes présent sont des adjectifs verbaux tels que endurant (endurer), changeant (changer)...

Les verbes du 1er groupe font leur participe présent en remplaçant le -a final par -ol:
. linna- (chanter) --> linnol (chantant)
. bronia- (endurer) --> broniol (endurant)

Les verbes du 2e groupe le font en ajoutant la terminaison -el à leur forme de base:
. dar- (arrêter) --> darel (arrêtant)
. tol- (venir) --> tolel (venant)
Cependant, les verbes dont la 1ere voyelle est un i font leur participe présent en -iel:
. fir- ( mourir) --> firiel (mourant)
. glir- (chanter) --> gliriel (chantant)

VII ~ LE PARTICIPE PASSE

Les verbes du 1er groupe font leur participe passé au singulier en ajoutant à leur forme de base -nnen
. egleria- (glorifier) -- > egleriannen (glorifié)
. gruitha- (errifier) --> gruithannen (terrifié)
Pour le pluriel, c'est le suffixe -nnin que l'on ajoute:
. gosta- (redouter) --> gostannen (redouté) --> pl. gestennin (redoutés)
Si elles sont presentes dans la base, les voyelles a et o deviennent e:
. harna- (blesser) --> harnannen (blessé) --> pl. hernennin

Les verbes du 2e groupe font leur participe passé au singulier en ajoutant à leur 3e personne du singulier du passé le suffixe -en :
. dar- (arrêter) --> 3e pers.sg. passé = darn (il,elle arrêta) --> darnen (arrêté)
. tir- (regarder) --> 3e pers.sg. passé = tirn (il,elle regardait) --> tirnen (regardé)
Lorsqu’une voyelle vient à les suivre:
. -nt devient nn- --> ped- (parler) --> 3e pers.sg. passé pent (il,elle parla) --> pennen(parlé)
. -nc devient ng- --> dag- (tuer) --> 3e pers.sg. passé danc (il,elle tua) --> dangen (tué)
. -mp devient mm- --> hab- (vêtir) --> 3e pers.sg. passé hamp (il,elle vêtit) --> hammen (vêtu)
. -nd devient nn- --> redh- (semer) --> 3e pers.sg. passé rend (il,elle sema) --> rennen (semé)
. -m devient mm- --> lav- (lécher) --> 3e pers.sg. passé lam (il,elle lécha) --> lammen (léché)
Pour le pluriel, on reprend les deux principes ci dessus, sauf que -en devient -in:
. darnen (arrêté) --> darnin (arrêtés) (1er cas )
. hammen (vêtu) --> Hammin (vêtus) (2e cas des verbes se terminant en -nt, -nc, -mp, -nd, -m)
Le -in déclenche comme d'habitude la transformation des a et o deviennent en e :
. dangen (tué) donne au pluriel dengin (tués)
. hollen (fermé) donne au pluriel hellin
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Les Determinants et les Pronoms

L'article défini
Singulier:
- i devant la plupart des mots, comme par exemple « i adan », « l'homme ».
- ir au devant un nom commençant par i, comme par exemple la lune, « ir ithil ».
Pluriel:
- in, comme par exemple « in Edain », les Hommes.

L’article indéfini (un, une)
Le Sindarin ne possède pas d’articles définis. Seule l'absence d'article défini indique que le nom est indéfini.
. Adan : « Homme » ou « un Homme »

Le Relatif
L’article i est également employé comme pronom relatif.
. "Firn i Guinar" signifie littéralement les morts qui vivent, c’est à dire les Morts vivants.

Le Possessif
- Bien souvent, les relations possessives sont évidentes car exprimées par l'ordre seul des mots. Par exemple, dans l'inscription de la porte de la Moria : "Ennyn Durin", les portes de Durïn, "Aran Moria", Seigneur de la Moria.
- On connait cependant:
. nín qui signifie "mon, ma" et enni "à moi"
. dîn qui signifie "son,sa"
- Il existe aussi un article génitif en. On l'utilise lorsque le deuxième nom de la construction est commun et défini.
. Conin en Annûn, qui signifie Princes de l'Ouest.

Pronoms
- im signifie je, moi
- e signifie il,elle
- men signifie nous
- hain signifie eux, ils, elles

Les terminaisons
-n qui exprime le "je"
-ch qui exprime en général de "tu"
-m qui exprime le "nous"
–en qui exprime « mon, ma » (exemple: lammen "ma langue")



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Les Adjectifs

On peut signaler trois terminaisons d'adjectifs typiques du Sindarin:
-eb -> par exemple aglareb (glorieux) qui vient de "aglar" (gloire)
-en -> par exemple brassen (chauffé à blanc) qui vient de "brass"(chaleur blanche)
-ui -> par exemple uanui (monstrueux) qui vient de "úan" (monstre)

On remarque cependant qu'un grand nombre de nom peuvent aussi des adjectifs dans la même phrase. Par exemple le mot Morn peut avoir le sens d'un nom (le noir, l'obscurité), mais egalement celui de l'adjectif dans le sens "noir, obscure"
Comme en français, l'adjectif s'accorde avec le nom. Pour former leur pluriel, voir la section suivante consacré au pluriel.

Il semble, de plus que le prefixe -ein et la terminaison -wain soient la marque du superlatif
Exemples: Aran Einior qui signifie «l’Ancien Roi»
Iarwain -> «le plus vieux», qui vient de iaur (vieux)

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Le Pluriel

Deux formes de Pluriel
En Sindarin, il existe deux sortes de Pluriel :

- Le Pluriel Collectif
Ce Pluriel englobe tous les êtres concernés.
. un hobbit se dit "perian"
. des hobbits se dit "perriain"
. les Hobbits en tant que peuple, "Periannath".
La terminaison du Pluriel collectif est -(i)ath, et le dernier exemple ci-dessus est un cas classique de pluriel collectif.
Dans quelques ca rares de dialectes Sindarin, la terminaison est –ion, mais cela est très rare.

- Le Pluriel « simple »
Pour comprendre le Pluriel Sindarin, il faut connaître le Pluriel du Quenya.
En Quenya, le pluriel se forme :
- en ajoutant –i à la fin d’un mot se terminant par une consonne
< - en ajoutant –r à la fin d’un mot se terminant par une voyelle
Cela donnera donc, pour atan = atani (Hommes), et pour cyria = ciryar (navires)
Pour le Sindarin, cette voyelle finale n’existe plus, mais sa disparition a entraîné un inflexion des autres voyelles.
Ainsi, la dernière voyelle du mot est directement affectée, et les autres voyelles sont infléchies.
Exemple :
adan (homme) donnera adani en Quenya.
En Sindarin, le ‘i’ glisse à l’intérieur, le ‘a’ du début se transforme en ‘e’, ce qui donne edain.

Cette transformation obéit à une règle :
- Les mots se terminant en o font leur pluriel en y, par exemple, mallorn = mellyrn.
- Les mots se terminant en a font leur pluriel en ai, par exemple, adan = edain.
- Les mots se terminant en e font leur pluriel en i, par exemple, angre, = engrin.

Merlin devient "posteur merdique"

Jaloux

Ephémère a écrit:

Merlin devient "posteur merdique"

Félicitations !

N'empêche que j'exige qu'on me remettre le titre de roi du flood. J'ai fait une superbe combinaison!

bah tout ça c'est superficiel, ça ne veut pas dire que tu es un vrai floodeur !

Ouais il floode sans flooder ^^

+ 1 !

Un dernier Arlequin ! 99 ça peut pas durer !

ci fait !

Personne ne juge un vainqueur du flood, ici?

Tu te juges tout seul vainqueur du flood, l'enchanteur, tu n'as pas besoin de nous

Me faut un fan club, alors.

J'en ferai pas partie en tout cas Je ne suis fan que de moi

Astral Romance a écrit:

J'en ferai pas partie en tout cas Je ne suis fan que de moi

Que tu as mauvais goût...

Eph est connecté

Plus maintenant

Re connecté. Il l'est depuis longtemps...

Raaah!

Oh rage ! Oh désespoir ! Oh vieillesse ennemie !

C'est dingue, vous allez finir par me haïr...